vendredi 6 mars 2009















































































5 mars 2009



Jour 46

Nous nous sommes réveillés dans la bruine ce matin et même des averses par moment. Mais, les conditions se sont améliorées progressivement dans la journée, avec de bonnes percées de soleil puis, les nuages on repris le dessus, au moins, il ne pleut pas.
En partant de Ballarat, nous avons pris la A300 vers Hepburn Springs. C’était dans la campagne, des moutons, des vaches, des chevaux étaient dans les champs le long de la route. Plus loin, nous avons vu des plantations d’arbres pour du bois de sciage apparemment. Les villages que nous rencontrons sont du temps de la ruée vers l’or des années 1850 environ. Il reste encore des vestiges des mines aurifères Australasiennes. Comme, par exemple, le village de Creswick qui comptait à cette époque 25,000 personnes, n’en compte plus que le dixième maintenant. Un peu plus au nord, dans le triangle formé entre Maryborough, Wedderburn et Dunolly, 90% des plus grosses pépites d’or ont été trouvées, incluant la Welcome Stranger (la plus grosse jamais trouvée) qui pesait 2,293 onces.
Puis, nous sommes arrivés à Hepburn Springs où il y a plusieurs sources d’eau minérale et tout est organisé autour de ces sources pour offrir des places de relaxation. Nous avons pris une séance dans le spa avec des herbes et algues marines pour revitaliser et purifier. Ce fut, en effet, très relaxant, et après tout ce temps dans l’eau qui brasse tout autour de nous, on en est ressorti très nettoyé (!!!), disons, revivifiés. Ce fut très agréable!
Après avoir cassé la croûte, nous avons repris la route vers Nagambie, le centre de parachutisme où nous sommes déjà allés avec Josée. Il y a une grosse rencontre de parachutistes en fin de semaine car, lundi, c’est congé (labour day) pour les australiens. Il y a un Skyvan et un Pac750 pour accommoder tous les sauteurs.
Nous sommes à Nagambie maintenant, le ciel est couvert de nuages dont la base est à environ 1500’, ce qui est beaucoup trop bas pour sauter. Tous les espoirs sont permis pour demain, la température ne peut que s’améliorer, du moins, on l’espère.
On verra … À demain !

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