10 février 2009
Jour 23
Josée est arrivée. Nous aurions aimé que la température soit belle pour l’accueillir, mais on n’y peut rien, les nuages ont eu le dessus sur le soleil, une autre fois. Et le mercure est descendu dans les 22oC tout au plus…(selon les dires de Josée : « et ce, sans compter le facteur éolien»).
Mais nous étions si heureux d’être ensemble, qu’importe la température, il va bien faire beau encore.
Ce matin, après un bon déjeuner et une bonne douche, nous sommes donc partis de chez nos amis, direction aéroport de Sydney. Départ vers 08 :45 , question d’éviter l’heure de pointe des travailleurs, et être à temps pour 10 :30, temps estimé d’arrivée de Josée, après un atterrissage du vol à 10 :00 puis le temps de passer les douanes.
Pendant que François faisait le tour de l’aéroport avec le camper-van, Monique allait chercher Josée à l’intérieur. Mais voilà, le vol était atterri depuis 09 :30; Josée a du attendre patiemment que nous arrivions.
Nous avons retraversé Sydney pour partir vers le sud, réservant la visite de Sydney pour le retour. Nous avons croisé Wollongong puis Unanderra, Dapto, le Lac Illawarra (à l’ouest cette fois), ensuite Minamurra, Kiama Downs, pour ne nommer que quelques-uns. Puis nous nous sommes arrêtés à Kiama (mot aborigène signifiant «là où la mer fait du bruit») justement pour voir le «blowhole» : un trou à travers les rochers où les vagues s’engouffrent et explosent en faisant s’élever l’eau dans les airs, quelques fois jusqu’à 50 pieds de haut, en faisant un bruit. L’érosion a élargi le trou durant ces dernières 20 années réduisant pour autant la force de projection de l’eau. Mais ça reste quand même assez impressionnant. Sur cette même pointe, il y a un phare datant de 1887.
Nous avons aussi acheté du poisson frais et des crevettes à une poissonnerie sur le quai.
Comme la fatigue du voyage remontait à la surface pour Josée, nous avons décidé de camper ici même, un camping tout au bord de la mer, un peu en retrait du village.
Après le dîner et un petit somme pour Josée, nous sommes allés sur internet au village et faire quelques emplettes pour compléter notre souper.
De retour au camping, nous avons fait une saucette dans le spa chaud juste à côté de la piscine, question de relaxer et se réchauffer aussi car, le vent était très frais. Nous avons mis nos maillots juste avant d’embarquer dans le spa et tout de suite après, on s’est séché et rhabillé.
Le souper était délicieux, le poisson était bien frais et les crevettes, un goût vraiment délicieux.
Dans notre campeur la place est restreinte, surtout à trois, mais après une bonne organisation, nous avons ronflé tous en chœur.
Tous les espoirs sont permis pour demain … hourra!
Jour 23
Josée est arrivée. Nous aurions aimé que la température soit belle pour l’accueillir, mais on n’y peut rien, les nuages ont eu le dessus sur le soleil, une autre fois. Et le mercure est descendu dans les 22oC tout au plus…(selon les dires de Josée : « et ce, sans compter le facteur éolien»).
Mais nous étions si heureux d’être ensemble, qu’importe la température, il va bien faire beau encore.
Ce matin, après un bon déjeuner et une bonne douche, nous sommes donc partis de chez nos amis, direction aéroport de Sydney. Départ vers 08 :45 , question d’éviter l’heure de pointe des travailleurs, et être à temps pour 10 :30, temps estimé d’arrivée de Josée, après un atterrissage du vol à 10 :00 puis le temps de passer les douanes.
Pendant que François faisait le tour de l’aéroport avec le camper-van, Monique allait chercher Josée à l’intérieur. Mais voilà, le vol était atterri depuis 09 :30; Josée a du attendre patiemment que nous arrivions.
Nous avons retraversé Sydney pour partir vers le sud, réservant la visite de Sydney pour le retour. Nous avons croisé Wollongong puis Unanderra, Dapto, le Lac Illawarra (à l’ouest cette fois), ensuite Minamurra, Kiama Downs, pour ne nommer que quelques-uns. Puis nous nous sommes arrêtés à Kiama (mot aborigène signifiant «là où la mer fait du bruit») justement pour voir le «blowhole» : un trou à travers les rochers où les vagues s’engouffrent et explosent en faisant s’élever l’eau dans les airs, quelques fois jusqu’à 50 pieds de haut, en faisant un bruit. L’érosion a élargi le trou durant ces dernières 20 années réduisant pour autant la force de projection de l’eau. Mais ça reste quand même assez impressionnant. Sur cette même pointe, il y a un phare datant de 1887.
Nous avons aussi acheté du poisson frais et des crevettes à une poissonnerie sur le quai.
Comme la fatigue du voyage remontait à la surface pour Josée, nous avons décidé de camper ici même, un camping tout au bord de la mer, un peu en retrait du village.
Après le dîner et un petit somme pour Josée, nous sommes allés sur internet au village et faire quelques emplettes pour compléter notre souper.
De retour au camping, nous avons fait une saucette dans le spa chaud juste à côté de la piscine, question de relaxer et se réchauffer aussi car, le vent était très frais. Nous avons mis nos maillots juste avant d’embarquer dans le spa et tout de suite après, on s’est séché et rhabillé.
Le souper était délicieux, le poisson était bien frais et les crevettes, un goût vraiment délicieux.
Dans notre campeur la place est restreinte, surtout à trois, mais après une bonne organisation, nous avons ronflé tous en chœur.
Tous les espoirs sont permis pour demain … hourra!
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